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La Jam permet la rencontre
Cela permet la rencontre entre les élèves ainsi que des musiciens extérieurs qui parfois finissent par s’inscrire. C’est à la jam, grâce au lien social, l’ambiance bienveillante et la joie que se créent en général les groupes de musique de l'école. À la jam, ils vivent la musique, jouent ensemble et partagent leur passion. Ils vivent une émotion collective qui renforce leur esprit de groupe et d’appartenance à l’école ATLA.
À la jam nous accompagnons techniquement et psychologiquement les élèves et participants qui, parfois, ont des difficultés à monter sur scène. Bien entendu, nous les accompagnons dans leur progression musicale de façon discrète et non intrusive. Seb ( deuxième organisateur des Jams) et moi travaillons en étroite collaboration pour que la jam soit un succès. Nous agissons avant (préparation de la jam), pendant et après. Seb est toujours présent sur scène, il occupe l’espace et moi je peux lui faire des retours du public grâce au bar et ma présence dans la salle. Nous instaurons un climat de confiance pour que tous les élèves trouvent leurs places.
La jam, comme un organisme vivant en perpétuel changement
Il y a un début avec l’ouverture, milieu avec ses relances et une fin. Avec les élèves, nous créons une interaction avec le public. La jam se construit avec fluidité afin d’obtenir la joie et le lâcher-prise pour que les musiciens donnent le meilleur d'eux-mêmes que ce soit sur le plan technique ou créatif. La jam crée une belle énergie qui se répercute sur toute l’école. La jam ATLA contribue à ce que j’appelle le côté « fame, art school » ( film et série tv des années 80).